Lundi 6 et mardi 7 mai, retour à la Margirondière, beau temps, puis légèrement nuageux : le fond de l’air reste frais.

Nouvel épisode de l’aventure à la Margirondière : rassembler les deux journées en une, elles s’enchainent. José termine son “jardin”, assemble ses barrières avec obstination. Nous le dérangeons à peine alors que nous passons près de son chantier, il daigne s’arrêter aux pauses café… Son abri est devenu notre nouveau QG, l’activité s’est déplacée de ce côté. La végétation est extraordinaire, prolixe, des fleurs un peu partout, les graines de saules volent comme des flocons de neige, Yann est gêné, il racle la gorge, éternue… Ne pas oublier l’ouïe : un concert d’oiseaux, j’ai bien repéré un rossignol, son chant fort mélodieux est enivrant. Nouveautés : le chantier de Nico prend de l’ampleur ; Manu de l’équipe à Guillaume nous a rejoint, il a son idée et la soumet. Il nous propose de réaliser un observatoire… Visiter son site : l’affaire est vite entendue, tout le monde lui donne un coup de main, il dispose de 2 jours… Avec Yann et Rachid, puis Manu, nous poursuivons le travail sur l’enclos à bouc que menait Willy. Comme il n’est pas revenu depuis un moment, le temps passe et les ronces se sont lancées à l’assaut des arbres environnants mais certaines se couchent sur le sol, alourdies par le poids de leur feuillage, pas bon ça… Alors suis allé en tirer délicatement (pour éviter de trop en casser), Yann et Rachid les ont intégrées dans la structure de la clôture, il est grand temps de former l’enclos. Le tout est ponctué de …